24 octobre 2008
Ce n'est qu'un au revoir ?
C'est la crise, il paraît. Je confirme. D'ailleurs, dans un élan irrépressible, je me dois, dans cette atmosphère lourde, de me licencier moi-même. De toute façon, le 4 novembre, c'est bientôt. Frenchitude(s) n'avait de raison d'être uniquement qu'à cause...